The all-new, all-electric, Trail Rated 2026 Jeep® Recon.

Jeep Recon : pourquoi j’ai déjà hâte de reprendre la liberté en 100 % électrique

Il y a des voitures qui laissent une empreinte durable, presque charnelle. Le Jeep Wrangler fait partie de celles-là. J’ai eu la chance de le conduire sur plusieurs terrains, sous plusieurs latitudes, et chaque fois le même phénomène se produit : ce moment où l’on ouvre les portes, ou plutôt où l’on enlève les portes, où l’on sent l’air s’engouffrer dans l’habitacle comme une invitation à lâcher prise, à s’autoriser une autre façon de voyager. Le Wrangler, c’est l’évasion brute, le parfum de poussière mêlé au plaisir presque enfantin de rouler différemment.
Et c’est précisément pour cela que l’arrivée du nouveau Jeep Recon 100 % électrique m’excite autant… Et j’ai pu le voir en avant-première à Barcelone !

La Jeep qui ne renie rien… mais change tout

Parce que Recon n’est pas une tentative « d’électrifier un mythe » : c’est un véhicule pensé dès la feuille blanche pour conjuguer l’ADN Jeep — le vrai, celui du Trail Rated — avec une nouvelle ère technique. Un Wrangler d’esprit, mais pas une copie. Une machine avec son propre caractère, ses propres atouts, et surtout une proposition audacieuse : être le seul SUV 100 % électrique Trail Rated.

Quand Jeep annonce un modèle électrique doté de 650 chevaux, 840 Nm de couple instantané et un 0 à 100 km/h en 3,7 secondes, on comprend tout de suite qu’il ne s’agit pas d’un compromis. Le couple d’un moteur électrique, c’est déjà grisant sur la route. Alors en tout-terrain, instantané et modulable au millimètre, cela promet d’être un outil d’une précision inédite.

Ajoutez à cela jusqu’à 400 km d’autonomie (EPA), le système Selec-Terrain avec cinq modes dont un mode Rock spécifique pour la version Moab, et vous obtenez une Jeep capable de réécrire les règles du tout-terrain électrique.

Rouler en Wrangler m’a appris une chose : la liberté, c’est une sensation physique

Et cette sensation, Jeep veut la transposer dans Recon.
On la retrouve dans les éléments que j’adore sur un Wrangler : la possibilité de retirer portes, vitres de custode, lunette arrière, sans outil — une exclusivité totale pour un véhicule 100 % électrique. Recon promet le même rapport au paysage, cette façon unique de devenir une partie du décor plutôt que de l’observer derrière un pare-brise.

On la retrouve aussi dans la posture, haute, confiante, totalement assumée.
Dans cette manière de transformer chaque trajet en micro-aventure.
Dans cette philosophie très Jeep : on enlève ce qui ne sert pas, on renforce ce qui compte.

Un design taillé pour les chemins… et pour l’époque

Recon n’essaye pas d’imiter les crossovers aseptisés. Il assume des lignes franches, une face avant verticale, une calandre à sept fentes illuminées comme un clin d’œil lumineux à son héritage. Il assume aussi quelque chose de rare : un hayon pivotant avec roue de secours pleine taille. Dans un monde automobile qui supprime à peu près tout ce qui dépasse, Jeep continue de revendiquer fonctionnalité et honnêteté de forme.

Et puis il y a ces détails Jeep typiques : les grandes surfaces vitrées, les feux arrière inspirés du Wrangler, les protections de caisse, les couleurs expressives, les touches de Noir Brillant, le sticker anti-reflet sur le capot de la version Moab.
Vous prenez un ADN Jeep pur, vous l’injectez dans un véhicule 100 % électrique moderne : Recon en est la démonstration la plus aboutie.

Un intérieur pensé pour vivre — pas seulement pour conduire

Là encore, Recon m’attire.
Parce que Jeep reste fidèle à l’usage, au pratique, au robuste émotionnel — mais avec une sophistication nouvelle.

On découvre une planche de bord horizontale, une poignée passager (que les wrangleristes connaissent bien), des rangements partout, une console centrale traversante, des panneaux de portes modulaires, et jusqu’à 1 867 litres de chargement une fois la banquette rabattue. Le coffre avant est même dimensionné pour une valise cabine : oui, une Jeep électrique peut être aussi un véhicule du quotidien.

Côté matériaux, Jeep va vers le durable : revêtements sans cuir, surfaces renforcées, textiles recyclés, tapis en caoutchouc prêts pour la boue.
Et pour accompagner les moments de liberté : un système audio Alpine repositionné sous les sièges (Alpine, pas Alpine !), pour continuer à profiter du son… même portes retirées.

Une Jeep électrique, mais toujours une Jeep

Ce qui me touche dans Recon, c’est cette affirmation simple : on peut entrer dans l’électrique sans renoncer à ce qu’on est. Jeep ne trahit rien. Elle évolue, elle muscle son approche, elle explore.
On imagine déjà les sensations : l’absence de bruit, la douceur de la transmission, la précision du couple.
On imagine un franchissement lent, silencieux, comme un animal qui se faufile dans la nature plutôt qu’un moteur thermique qui l’impressionne.

C’est une autre manière d’explorer.
Une autre façon d’être libre.

Pourquoi j’ai hâte d’être au volant

Parce que Recon promet de réunir ce que j’aime le plus dans l’automobile :

  • un lien physique avec le paysage,

  • une vraie capacité tout-terrain,

  • une vision assumée de l’aventure,

  • et désormais, la magie de l’électrique.

Le Wrangler m’a appris à aimer la liberté brute.
Recon pourrait bien m’apprendre la liberté silencieuse.

Et j’avoue : je suis impatiente de découvrir si cette Jeep 100 % électrique saura me donner ce frisson que seules les vraies machines d’aventure savent provoquer.




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